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1.142 Choisir sa souris et en prendre soin

BPMI – 10/03/2017 – 1

1. Choisir sa souris

Une souris à votre taille

Il est important, me semble-t-il, d’avoir une souris à sa taille, bien que les petites souris soient moins chères. Une souris à sa taille se reconnaît en posant la main dessus, paume contre le tapis à l’arrière : les extrémités des doigts doivent se poser sur les boutons, et non devant la souris.

Ambidextre ou pas

Certaines souris sont ambidextres : les gauchers apprécient. Néanmoins, une souris pour droitier (et il existe sur internet des souris pour gauchers) est plus confortable car elle tient mieux dans la main. Elle est donc plus précise.

2. Prendre soin de sa souris

Les souris actuelles sont infatigables. Un seul souci peut les mettre en rancart : quand un bouton ne clique plus correctement, après un choc encaissé ou une chute.

N’abandonnez pas une souris avec sa pile : il vaut mieux retirer la pile que de retrouver des fuites d’acide.

Nettoyer les patins qui accumulent facilement la poussière. Ces coussins déséquilibrent la souris et lui font perdre de sa précision.

Nettoyer le tapis au moins une fois par mois avec une éponge humide franchement savonneuse, et rincer abondamment. Un tapis propre, dégagé de ses traces habituelles de sueur, de poussière améliore nettement la précision de la souris.

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10/03/2017 : création.

 

1.141 La souris : présentation et paramétrage

BPMI – 10/03/2017 – 1

Logiciel et version

Windows 10

Logitech SetPoint 6.67

1. Types principaux de souris

La souris est un matériel qui a beaucoup évolué depuis les premiers mulots comme disait Jacques Chirac.

La souris filaire

Espèce en voie de disparition, elle a donné son nom au dispositif. Respect ! Son lecteur peut être à boule (bonjour les encrassages) ou à infrarouge. Précision hasardeuse.

La souris sans fil laser

Désormais la souris est autonome. Son lecteur est un rayon laser, précis. Elle est reliée à l’ordinateur avec un dongle fiché dans une prise USB.

Boutons et mollette

Typiquement, la souris a deux boutons pour cliquer : le bouton gauche est le bouton habituel ; il permet aussi le double-clic. Le bouton droit est le bouton exceptionnel. Une molette permet le défilement d’une fenêtre sans bouger la souris. Un taquet peut basculer ce défilement en défilement lisse (hasardeux parfois dans les frontières) ou par cliquet (plus précis).

La souris peut présenter aussi d’autres boutons : précédent et suivant (pratique pour passer d’une page à l’autre dans l’explorateur), et d’autres encore. Personnellement, je ne les utilise pas.

Pour éviter que les piles ne s’usent trop vite, la souris dispose d’un interrupteur Marche/arrêt, situé dessous. À utiliser sans modération, surtout pour les voyages.

Le tapis de souris

Accessoire indispensable de la souris, il est souvent négligé. Pourtant, il permet à sa souris des performances (déplacement et précision) qu’elle n’aurait pas sans lui.

2. Paramétrer sa souris

Il faut aller au moins une fois en paramétrage de la souris.

Sous Windows 10 :

W ;

▼ ♥ Roue dentée [Paramètres] ♥ ; <▢ Paramètres Windows ;

Périphériques ;

Dans le menu de gauche : ▼ Souris et pavé tactile

Sur ce premier niveau de paramétrage, vous pouvez :

  • préciser quel est le bouton principal (gauche ou droite) ;
  • qui défile avec la molette : les lignes ou les écrans (pages) et le nombre à chaque clic de molette ;

Options supplémentaires de souris ;

<▢ Propriétés de souris ;

Cette fenêtre permet un deuxième niveau de paramétrage. Il reprend l’ensemble des paramètres, y compris les précédents qu’il est donc possible de modifier encore ici.

Prenez le temps d’explorer et de tester tous ces paramètres. Ne vous compliquez pas la vie, mais retenez ce qui vous plaît. N’hésitez pas à tester vos choix.

En particulier dans | Options du pointeur |, personnellement j’ai tout coché, car ce sont des options de confort appréciables.

Si vous utilisez une souris (ou un clavier) Logitech, téléchargez le logiciel SetPoint : il vous facilitera les paramétrages.

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10/03/2017 : création.

 

1.134 Choisir son clavier et en prendre soin

BPMI – 10/03/2017 – 1

Logiciel et version

Linux/Ubuntu 16.4 LTS

Choisir son clavier

Je préconise, pour un équipement fixe, un clavier sans fil. Un dongle USB le relie à l’unité centrale. Il est souvent possible de le recharger en le connectant à une prise USB ; c’est plus pratique que d’accéder aux piles. Mais contrairement à la souris (le laser est gourmand en énergie), les piles du clavier durent longtemps. Si vous avez le choix, préférez un clavier muni d’un interrupteur : vous prendrez vite l’habitude de l’éteindre quand vous arrêterez votre travail et les piles dureront encore plus longtemps. Sous Linux/Ubuntu, l’indicateur de charge du clavier est affiché dans la barre des tâches: c’est bien pratique.

Le clavier doit nécessairement avoir un repose-paumes ou être très peu épais côté utilisateur : il est important que les poignets reposent sur un socle rigide.

Les claviers actuels sont construits quasi tous sur les mêmes technologies. Les touches sont confortables. Les contacts sont capacitifs, plus sûrs et plus durables.

Il ne faut pas hésiter à investir dans du matériel de qualité, sans nécessairement chercher le top qui est bien souvent excessif. Mais ces matériels sont particulièrement sollicités et ils s’usent vite. Comme les brosses à dents, il ne faut pas hésiter à les remplacer quand ils sont fatigués. Sur un clavier, dès qu’une seule touche fait des fantaisies, il faut le changer.

Prendre soin de son clavier

Pour le clavier, deux types d’entretien sont nécessaires : la surface des touches et le sucre.

La surface des touches qui est en contact avec les doigts doit toujours rester très propre. Comme pour l’écran, on utilisera un chiffon à poussière, propre, très légèrement humidifié avec de l’eau légèrement savonneuse. Le même chiffon que celui utilisé pour l’écran conviendra. Un entretien régulier élimine les risques de dépôts qui partent difficilement avec un chiffon simplement humide. Cet entretien régulier a l’avantage de ne pas user les lettres imprimées sur les touches.

Dans le jargon informatique, on appelle sucre toutes les miettes que le clavier récupère et qui peuvent gêner considérablement le fonctionnement des touches. La seule solution efficace est l’aspirateur. Mais attention, car une aspiration trop forte risque d’aspirer les touches (qui sont simplement encliquetées sur leur base mobile). Je préconise donc une séance d’aspirateur par mois pour vider le clavier de son sucre. Utilisez un filet à petites mailles entre le bec de l’aspirateur et le clavier, qui recueillera les touches éventuellement aspirées (cela vous évitera d’aller les chercher dans la poussière). Il vous suffira de les re-cliquer ensuite sur leur base.

À défaut d’aspiration régulière, n’hésitez pas à retourner votre clavier de temps en temps en le tapant sur le bureau : vous serez étonnés de la récolte !

Le clavier craint la poussière qui se dépose quand la pièce est au repos, surtout la nuit. L’idéal est de prendre l’habitude soit de couvrir le clavier comme on le fait d’un clavier de piano ou d’orgue, soit en retournant le clavier contre le bureau.

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10/03/2017 : création.

 

1.122 Choisir son écran et en prendre soin

BPMI – 10/03/2017 – 1

1. Choisir son écran

Les écrans sont souvent proposés indépendamment des caisses, et cela permet de personnaliser votre configuration au mieux.

Le choix de votre écran est conditionné par l’utilisation habituelle des logiciels. En bureautique, et même pour des photos, un écran ordinaire (19’’ avec une résolution de 1140:900 est largement suffisant. Pour les jeux vidéos, les vidéos ou les films, il vous faudra un écran plus grand.

La taille de l’écran dépend, comme pour les télévisions, de la distance entre l’œil et l’écran. La norme est de prendre une diagonale qui représente 1:2,5 de cette distance ; en d’autres termes, la diagonale à choisir dépend de la profondeur de votre bureau. Elle doit se situer entre la moitié et le tiers de cette profondeur.

Il n’est pas nécessaire que l’écran soit doté de dispositif comme les LED qui augmentent sa luminosité ; sauf en cas d’usage intensif de films ou vidéos.

2. Entretenir son écran

L’électricité statique dégagée par l’écran attire la poussière, surtout la nuit. N’hésitez pas à essuyer l’écran régulièrement avec un chiffon à poussière propre, sans produit d’entretien, à sec.

Si l’écran a reçu des projections de liquide, enlevez-les avec un chiffon doux, légèrement humide.

Le haut de l’écran présente souvent des bouches d’aération : ne les masquez pas.

Évitez d’utiliser votre écran comme un porte-post-it ou autres cartes postales de vos collègues délicats. Ce n’est pas tant la fonction de support qui est concernée par ce conseil que le geste de lui accrocher ou décrocher quelque chose : l’écran n’est pas fait pour supporter ce genre de pression.

 

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10/03/2017 : création.

 

1.113 Choisir son ordinateur et en prendre soin

BPMI – 10/03/2017 – 1

Plan

1. Définir ses critères de choix

  • Fréquence d’utilisation et charge de travail
  • Votre budget
  • Emplacement de l’appareil
  • Puissance nécessaire
  • Mémoire disque

2. Hiérarchisez vos critères

3. Prendre soin d’un ordinateur

  • Éviter les chocs
  • Éviter la poussière
  • Éviter l’eau et les liquides
  • Laisser du mou aux câbles

 

1. Définir ses critères de choix

L’informatique actuelle favorise les achats impulsifs. Si cela vous convient, cette fiche vous est inutile.

Fréquence d’utilisation et charge de travail

Il est important d’imaginer avec quelle fréquence vous allez utiliser votre ordinateur et pendant combien de temps à chaque fois. La réponse à ces deux questions conditionnera l’emplacement de votre machine et son type, fixe ou nomade.

Votre budget

Il est important de vous donner, avant un investissement, une fourchette de prix et surtout une limite à ne pas dépasser. Prenez le temps de bien évaluer les compléments indispensables à la machine de base. Les caisses sont de plus en plus vendues, sans écran. Les adaptateurs ne sont pas gratuits.

Emplacement de l’appareil

Si vous voyagez beaucoup ou si vous ne pouvez pas vous passer de votre ordinateur en vacances, il vous faudra un portable à moins qu’une tablette vous suffise.

Puissance nécessaire

Pour faire de la bureautique, un modèle de base (tant pour la caisse que pour l’écran, le clavier et la souris) est largement suffisant : un processeur à 2 Ghz, 4Mo de mémoire.

Si vous voulez utiliser des jeux vidéos, faire vous-même des vidéos, il vous faudra plus de mémoire et plus de puissance.

Mémoire disque

Les mémoires externes ne coûtent plus grand-chose, et on aurait tort de s’en priver. Pour de la bureautique, un disque d’un Téra est excessif. Si vous voulez télécharger des films, ou mémoriser un paquet de vidéos ou des albums photos, ce sera bien.

2. Hiérarchisez vos critères

Une fois que vous aurez défini vos critères, il vous faut les hiérarchiser, c’est-à-dire les mettre par ordre décroissant d’importance. Puis passez les configurations qui vous tentent au crible successif de vos critères. Il est certain que vous n’aurez plus qu’une option en bout de course, sinon, vous aurez fait des sélections irréalistes.

3. Prendre soin d’un ordinateur

Éviter les chocs

Ce conseil vaut surtout pour les tours et les anciens portables qui abritent un disque dur. Le minimum pour un portable est de le transporter dans sa housse matelassée. Une tour peut être posée au sol, mais il est important qu’elle soit à l’abri des coups de pieds ou des suceurs d’aspirateur.

Éviter la poussière

Celle qui obstrue les bouches d’aération, celle qui se dépose pendant la nuit sur le clavier et l’écran d’un portable. Un coup de chiffon de temps à autre est bénéfique.

Éviter l’eau et les liquides

En particulier, les projections de café ou autre infusion. Sur un clavier, surtout si le café est bien sucré, il faudra le changer : pour un portable, l’addition sera salée !

Laisser du mou aux câbles

Dans un câblage, la zone la plus fragile est la prise qui accueille le câble. C’est valable pour toutes les prises et tous les appareils (y compris un disque dur externe et son câble USB, un téléphone portable et son cordon d’alimentation). Si le câble est tendu, le moindre mouvement brusque du câble (quelqu’un qui trébuche, un objet lourd qui tombe), va endommager la prise. Comme bien souvent, la prise est solidaire de la carte, c’est la carte qui va souffrir et au pire, il faudra changer l’appareil.

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10/03/2017 : création.

 

 

1.111 L’ordinateur : présentation

BPMI – 10/03/2017 – 1

Présentation

Cette fiche présente les caractéristiques d’un ordinateur pour s’y retrouver plus facilement, ainsi que les grandes différences entre portable et nomade.

L’ordinateur fixe

Je parle ici de la tour ou station ou encore unité centrale. Il s’agit d’une caisse métallique avec une façade plastique, généralement de couleur noire, qui présente un volume pour peu de chose à l’intérieur.

Sur la face avant, on trouve généralement :

  • un bouton poussoir servant de contacteur pour la mise en route ou l’arrêt forcé ;
  • une ou plusieurs prise USB 2 ou 3 ;
  • un ou plusieurs emplacements pour des cartes mémoires externes (SD ou autres) ;
  • une prise pour jack 3.5 mm pour le micro, et une pour le casque ;
  • un tiroir pour CD ou DVD ;

Sur la face arrière, on trouve :

  • la prise pour le cordon d’alimentation (soit pour un cordon d’alimentation 220 V +T, soit une prise jack pour cordon courant faible provenant d’un transformateur) ;
  • plusieurs prises USB 2, USB 3 ou USB 3.1
  • les prises USB 2 et USB 3 sont identiques ; mais il faut savoir les distinguer, car leur vitesse de transmission va de 1 à 10 ; c’est important pour connecter un disque dur ;
  • les prises USB 3.1 sont symétriques : le câble peut être mis de n’importe quel côté. Leur dessin est proche des prises USB ;
  • une prise VGA pour le câble vers l’écran ;
  • les trois prises jack 3,5 mm pour micro (rose), hauts-parleurs (line out – vert) et entrée (line in – bleu) ;
  • une prise Ethernet ;

Des cartes

peuvent être ajoutées à la configuration de base ; elles peuvent comporter des prises particulières.

À l’intérieur,

on trouve la carte mère dont la surface justifie celle des panneaux latéraux. Le processeur au centre est souvent couvert d’un ventilateur. L’alimentation avec son transformateur et ses condensateurs sensés gérer les sautes de tension est remplacée aujourd’hui par un petit transformateur externe, l’entrée se faisant en basse tension (12 V). Collés sur la face avant interne, dans un rack particulier, le lecteur de CD/DVD et le ou les disques durs sont reliés à la carte par des nappes. L’ensemble est saisissant par le vide !

Important, des bouches d’aération permettent à l’air frais de rentrer pour refroidir le processeur qui chauffe facilement. Il faut veiller à les laisser libres en posant la caisse à 10 cm au moins d’un mur ou d’un panneau.

À retenir :

  • Chercher dans votre documentation, quelles sont les prises USB 3 pour les repérer et les utiliser avec des périphériques rapides comme les disques durs.
  • Ne pas obstruer les bouches d’aération.
  • Pour les non-initiés, il est inutile d’ouvrir la caisse pour faire quoi que ce soit.

L’ordinateur portable

L’ordinateur portable se caractérise par un écran qui s’ouvre, et qu’on maintient fermé pour le voyage, un clavier solidaire de la caisse, avec un touchpad devant remplaçant la souris, et des prises sur les deux côtés ou la face arrière. La batterie est aussi un organe important.

Équipé désormais du wifi, l’ordinateur portable n’a plus de prise Ethernet. Pour se connecter par câble sur un réseau filaire, il faut un adaptateur Ethernet-USB. On peut en profiter pour prendre un adaptateur qui fait office, en plus, de multi-prises USB, car elles sont rares. Les meilleurs sont alimentés avec un petit transformateur externe.

Il est important de faire l’inventaire des prises disponibles pour s’organiser en conséquence. C’est-à-dire, investir dans des adaptateurs qui se révèlent à l’usage bien pratiques. Le must est la station d’accueil qui reçoit l’ordinateur à la maison : l’ordinateur s’y enfiche, et la station réplique les ports USB, Vidéo, Ethernet, et l’alimentation permettant à l’ordinateur enfiché de se recharger.

L’organe le plus facilement vétuste est la batterie. Elle est accessible par le dessous, et son cache est verrouillé par un cliquet-poussoir. Pour le même ordinateur, il peut exister, suivant le numéro de série, des batteries différentes. Notez bien ce numéro de série de l’ordinateur, le type et la référence de votre batterie avant d’en acheter une neuve sur internet ou chez un magasin spécialisé. Quand un ordinateur ne tient plus la charge, il ne faut pas hésiter à changer sa batterie.

Les tablettes

Les tablettes sont des ordinateurs portables sans clavier ni disque dur ; le disque dur annoncé est en fait une mémoire non volatile.

Les prises sont réduites au minimum : chargeur électrique et une prise USB dans le meilleur des cas. Évitez les périphériques auto-alimentés (tirant leur énergie électrique de leur hôte) : les tablettes ne sont pas conçues dans ce but.

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10/03/2017 : création.

 

1.131 Le clavier, présentation et paramétrages

BPMI – 10/03/2017 – 1

Logiciel et version

Windows 10

Plan

1. Différents types de claviers

  • Clavier de poste fixe

  • Clavier d’ordinateur portable

  • Le clavier français

2. Paramétrages propres au clavier

  • Démarrer avec le pavé numérique opérationnel

  • Avoir un clavier non latin disponible

1. Différents types de claviers

1.1 Clavier de poste fixe

Le clavier peut être relié à l’ordinateur par un câble ou par ondes (sans fil). Le câble se connecte sur une prise USB. Les claviers sans fil sont vendus avec un dongle, dispositif d’environ 1 cm² qui s’enfiche dans une prise USB. Logitech diffuse des dongles qui peuvent reconnaître jusqu’à 6 dispositifs différents (claviers ou souris) : cela permet d’avoir un clavier et une souris sans fil sur une seule prise USB.

La disposition des touches sur un clavier basique dépend du pays, de la langue. tout le monde connaît les claviers anglo-saxons QWERTY et les claviers français AZERTY. Mais il faut savoir que les claviers français de Suisse sont différents de ceux de France, comme ceux de Belgique. Néanmoins, tous les claviers présentent trois zones distinctes : le pavé numérique, le pavé alphabétique, et entre les deux, le pavé directionnel.

1.2 Clavier d’ordinateur portable

Sur les grands ordinateurs portables, le clavier ressemble à un clavier basique. Sur les plus petits, le pavé numérique est absent.

Il peut être simulé avec un pavé virtuel, sur la partie droite du pavé alphabétique, avec des touches à double effet : il faut appuyer sur une touche particulière de composition (généralement codée [Fn] en bleu ou marron) pour obtenir les chiffres et les touches d’opérations imprimés de la même couleur.

Si ce pavé virtuel n’existe pas, il faut utiliser les caractères alphabétiques. Dans ce cas, le clavier est incapable de générer des Alt codes car ceux-ci nécessitent un clavier numérique, réel ou virtuel.

1.3 Le clavier français

Le pavé numérique comprend les 10 chiffres, le séparateur décimal, les 4 opérations et la touche [Entrée]. Ce clavier doit être activé en numérique sinon, les touches fonctionnent comme des touches directionnelles (vestige d’un ancien temps où le pavé directionnel n’existait pas ; mais les informaticiens sont des gens très traditionalistes…). J’explique plus bas dans Paramétrages comment régler une fois pour toute cette incongruité.

Le pavé directionnel comprend les touches :

  • [Inser] : permet en traitement de texte, par exemple, de basculer entre le mode insertion et le mode écrasement. Dans l’insertion, le prochain caractère tapé se met à place du point d’insertion entre deux caractères ; dans l’écrasement, le prochain caractère tapé se met à la place du caractère couvert par le point d’insertion (qui se présente comme un rectangle en négatif) ; il écrase de caractère qui disparaît.
  • [Suppr] : touche de suppression ; dans une zone de saisie ou d’édition, supprime la sélection ; sinon, supprime le caractère suivant le point d’insertion ;
  • les quatre flèches directionnelles : ▲, ▼, ◄, ► ; pour déplacer le point d’insertion dans une zone de saisie ;
  • [Début] et [Fin] : pour positionner le point d’insertion, suivant le contexte ou en association avec une touche de composition ([Ctrl], [Alt], [Maj], au début ou à la fin d’une ligne, d’un paragraphe, d’une page, etc.
  • [Page ▲] et [Page ▼] : comme les précédentes, dans un champ plus large en général.

Le pavé alphabétique comprend des rangées particulières :

  • en haut du pave, les touches de fonction, de [F1] à [F12] : leur utilité est déterminée dans chaque application ; le tableau des raccourcis système donne les signification les plus courantes sous Windows : [F1] = Aide, [F2] = Renommer un fichier sélectionné dans l’explorateur, [F4] sur un combo, affiche la liste des choix, etc.
  • la ligne du dessous comprend principalement les chiffres (en majuscules), des lettres accentuées (minuscules) et des caractères particuliers ; sur la droite, [Ret ◄] efface le dernier caractère tapé ou le caractère devant le point d’insertion ;
  • les lettres sont proposées sur trois rangées, encadrées par des touches de composition à gauche ([Tab], [Ver Maj], [Maj]) ;
  • la dernière ligne comprend les touches [Ctrl], [Windows ou Power], [Alt] et [Alt Gr], et la barre d’espace au centre.

Les claviers comportent aussi des touches pour piloter les vidéos ou les audios, le haut-parleur, la connexion internet ou la messagerie, la calculette et même parfois l’arrêt de l’ordinateur.

  • La touche [Impr écran] permet de mettre la photo de l’écran dans le presse-papier ; de la sorte, il est possible, sous Gimp par exemple, de créer une image à partir du presse-papier et de la travailler (découpage, redimensionnement, etc.)

2. Paramétrages propres au clavier

Lorsque l’on installe un système d’exploitation (ou réinstalle) sur un ordinateur, le système demande de préciser la langue de l’utilisateur et le clavier utilisé. Ce sont la langue et le clavier principaux. D’autres langues et claviers peuvent ensuite être ajoutés.

Démarrer avec le pavé numérique opérationnel

Sur les anciens systèmes, encore récemment, lorsque l’ordinateur démarrait, le pavé numérique n’était pas verrouillé en numérique. De la sorte, l’action des chiffres se concrétisait par des déplacements du curseur indésirables. Il fallait alors, avant de commencer à taper, actionner la touche [Ver Num].

Un paramétrage du BIOS peut mettre les choses en ordre (c’est expliqué ici) ; mais sous Windows, l’incident reste persistant.

Il faut alors modifier les registres. L’opération est délicate, mais les personnes consciencieuses peuvent s’en sortir sans dommage.

Je commence par appeler l’éditeur de registres (regedit) : c’est expliqué ici ;

Dans l’explorateur du registre, je recherche l’arborescence : HKEY_USERS > DEFAULT > Control Panel > Keyboard ;

Dans la liste des clé, à droite : ▼▼ InitialKeyboardIndicators ;

Données de la valeur : {2} ; ◄ OK ► ;

Je reviens dans l’explorateur du registre, et je déroule l’arborescence : HKEY_CURRENT_USER > Control Panel > Keyboard ;

Dans la liste des clés, à droite : ▼▼ InitialKeyboardIndicators ;

Données de la valeur : {2} ; ◄ OK ► ;

(C’est terminé pour les registres, mais il reste encore un réglage) ;

Dans la barre des tâches, à gauche, ▲ W ;

Options d’alimentation ;

<▢ Alimentation et mise en veille ;

Paramètres associés

▼ Paramètres d’alimentation supplémentaires ;

<▢ Options d’alimentation;

Dans le menu de gauche : ▼ Choisir l’action des boutons d’alimentation ;

<▢ Paramètres système ;

▼ : Modifier des paramètres actuellement non disponibles ;

Paramètres d’arrêt ‡ (intitulé hors-sujet…);

Activer le démarrage rapide ; (la case doit être décochée) ;

▼ ◄ ENREGISTRER LES MODIFICATIONS ► ;

Je ferme toutes les application, et toutes les fenêtres ;

J’arrête l’ordinateur (important : il faut le mettre hors tension) ;

Je redémarre et je vérifie que mon clavier numérique me permet désormais de taper des chiffres sans avoir besoin de le verrouiller comme avant.

Avoir un clavier non latin disponible

Pour ceux qui utilisent des langues utilisant un clavier non latin (russe, grec, hébreu), j’indique ici : 1.333 Composer des caractères bizarres comment initier ce clavier et comment l’utiliser en bascule avec le clavier principal.

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1.133 Composer des caractères bizarres : pour initier un clavier non latin et l’activer en bascule avec le clavier principal.

Paramétrer le BIOS pour verrouiller le pavé numérique au démarrage :

http://forums.cnetfrance.fr/topic/1285217-windows-10–activer-le-clavier-numerique-au-demarrage/

Historique

10/03/2017 : création.

1.121 L’écran : présentation et paramétrages

BPMI – 10/03/2017 – 1

Logiciel et version

Windows 10

Plan

1. L’écran

  • Diagonale et rapport largeur:hauteur
  • La résolution
  • Les connexions de l’écran
  • Les boutons de paramétrage

2. Paramétrages

  • Paramétrages physiques
  • Paramétrages système (ou logiques)

3. Le contenu de l’écran

  • Le bureau
  • Les fenêtres d’applications
  • Manipuler les fenêtres
  • Déplacer une fenêtre sur le bureau
  • Changer les dimensions de la fenêtre

 

1. L’écran

Diagonale et rapport largeur:hauteur

Deux caractéristiques essentielles pour définir la dimension d’un écran sont la diagonale et le rapport largeur:hauteur.

La diagonale est indiquée en pouces (”). Un pouce = 2,54 cm. 19’’ (48 cm) est une diagonale courante en bureautique. Pour des utilisations de jeux vidéos, de vidéos, il est préférable de prendre 21” ou 24”.

Le rapport entre largeur et hauteur correspond à celui des écrans de télévisions. Sur les premiers écrans, ce rapport était 5:4 (1.25) ; il est aujourd’hui plus fréquemment de 16:9 (1.77).

La résolution

Voilà une autre caractéristique très importante. La résolution (on dit aussi la définition) exprime le nombre de pixels, en largeur et en hauteur. Le pixel est le point élémentaire d’un écran couleur. À dimensions d’écran égales, plus ce nombre est grand, plus les pixels sont petits, et par suite, plus les images, et surtout les caractères sont fins. Concrètement, la lecture est plus aisée sur un écran de haute définition.

Si les dimensions physiques sont fixes, inscrites dans le matériel, la résolution peut être modifiée par paramétrage système. Noter que les pixels peuvent être carrés ou rectangles. Le rapport largeur:hauteur en pixels peut donc être différent du celui des dimensions physiques de l’écran.

Pour modifier la résolution,

sous Windows 10 :

W ;

▼ ♥ Roue dentée [Paramètres] ♥ ; <▢ Paramètres Windows ;

▼ Système ; ▼ Affichage ; ▼ Paramètres d’affichage avancés <▢

Paramètres d’affichage avancés ;

♫ Résolution : choisir la résolution recommandée.

(si vous choisissez une résolution différente de l’actuelle, il vous faut alors:)

◄ APPLIQUER ► ; l’écran s’efface et s’affiche avec la nouvelle résolution ;

◄ APPLIQUER ► : adopte la nouvelle résolution.

◄ RESTAURER ► : remet l’écran avec la résolution initiale.

(l’attente est temporisée : si vous ne répondez rien la résolution initiale est restaurée).

Les connexions de l’écran

L’écran comporte une prise d’alimentation électrique (2P+T) avec un cordon livré avec l’écran pour branchement sur le secteur.

La prise VGA (le plus souvent ) connecte l’écran à l’ordinateur. Le cordon peut être prolongé par une rallonge si l’écran est trop loin de l’ordinateur.

Une prise jack 3.5 mm connecte les hauts-parleurs installés sur les côtés ou sur le haut. Le cordon est standard. Il se fiche dans la prise ad hoc, généralement en vert, sur l’ordinateur (line out).

Les boutons de paramétrage

Généralement situés sur la face avant pour voir le résultat de leur modification, les boutons de paramétrages sont discrets. Ils sont au nombre de cinq :

  • le bouton de mise sous tension, poussoir bascule, est repérable avec le dessin classique d’un interrupteur (un cercle ouvert en haut par lequel passe un rayon vertical) ;
  • un bouton d’entrée dans le paramétrage physique ;
  • un bouton Menu entouré de deux boutons directionnels (◄ et ►).

2. Paramétrages

L’écran offre la particularité d’être paramétrable physiquement et logiquement. Je ne connais pas de règles précises pour trouver le bon paramétrage. En revanche, je conseille de paramétrer l’écran dans son environnement habituel d’utilisation en choisissant des réglages aussi satisfaisants que possible à la lumière naturelle et la lumière artificielle. Je préconise aussi de faire les réglages physiques et d’adopter les réglages logiques par défaut.

Paramétrages physiques

Les boutons sont décrits ci-dessus.

Il est souvent possible de paramétrer une ambiance : choisissez celle qui vous convient.

Vous avez intérêt à bien poser les deux réglages Luminosité et Contraste. Les autres réglages sont plus délicats à cerner.

Paramétrages système (ou logiques)

Sous Windows 10, l’accès aux paramétrages logiques :

▼ W ;

▼ ♥ Roue dentée [Paramètres] ♥ ; <▢ Paramètres Windows ;

▼ Système ; ▼ Affichage ; ▼ Paramètres d’affichage avancés <▢ Paramètres d’affichage avancés ;

Ensuite libre à vous de tester vos réglages.

Mise en veille de l’écran

Voilà un paramétrage qu’il vous faut régler. Sur les portables, il y a en général deux réglages : un quand l’ordinateur est connecté au secteur, un quand il fonctionne sur batterie.

La veille est importante car elle économise l’écran. Elle est intéressante car la sortie de veille est immédiate.

Il s’agit d’un paramétrage qui éteint l’écran au bout du temps indiqué en paramètres s’il n’est pas sollicité. Notez bien que si un programme fonctionne en fond (sans affichage modifié), ce fonctionnement n’est pas affecté par la mise en veille de l’écran.

Si vous avez un mot de passe pour vous connecter, il est possible de demander que le mot de passe soit demandé à la sortie de veille.

3. Le contenu de l’écran

L’important, c’est ce que l’écran affiche.

Le bureau

Au démarrage, l’écran affiche ce qu’on appelle le Bureau.

L’arrière-plan est paramétrable avec une image de son choix, ou un diaporama.

La barre des tâches, placée à volonté, en bas ou sur un côté, propose des icônes d’applications visibles même quand l’écran est occupé en totalité.

Sur l’arrière-plan, l’utilisateur dispose des icônes d’applications, de dossiers, de fichiers. En fait, il s’agit souvent de raccourcis qui pointent sur les fichiers d’origine. La forme de ces icônes est paramétrable.

Tous les paramétrages du bureau sont accessibles, sous Windows 10 :

▼ W ;

▼ ♥ Roue dentée [Paramètres] ♥ ; <▢ Paramètres Windows ;

▼ Personnalisation ;

(les différents paramétrages sont proposés dans le menu à gauche).

Mais l’arrière-plan accueille surtout les fenêtres des applications qui se déroulent.

Les fenêtres d’applications

Dès qu’un programme quelconque est lancé, une fenêtre s’affiche sur l’écran.

Celle-ci peut prendre trois états :

  • plein écran : la fenêtre occupe toute la surface du bureau ;
  • réduite : la fenêtre n’occupe qu’une partie du bureau ;
  • masquée : la fenêtre n’apparaît pas sur le bureau ; l’application est néanmoins indiquée avec son icône dans la barre des tâches.

Une fenêtre affichée présente en partant du haut, une succession de zones :

  • la barre de titre comprend le nom de l’application ou du fichier en cours de travail, et une batterie de trois icônes présentées ci-dessous dans Manipuler les fenêtres ;
  • une ligne de menu, dont les premiers sont généralement : Fichier, Édition, etc.
  • une ou plusieurs lignes de boutons : ces icônes ont le même effet qu’un choix de menu ;
  • tout en bas de la fenêtre, une barre d’état avec des informations et des liens actionnant des menus contextuels (en double-effet, comme les boutons, des menus).

Quand le contenu n’est pas intégralement affiché (en hauteur ou en largeur), sur les bords extérieurs correspondants, on trouve des ascenseurs. L’ascenseur est une rangée dans laquelle un pavé mobile (l’ascenseur) est matérialisé ; sa position dans la rangée indique la position relative de la partie affichée par rapport à la totalité de la page. On peut faire défiler la partie affichée de plusieurs manières:

  • en cliquant sur l’ascenseur et sans lâcher le bouton, le déplacer : le contenu affiché suit le mouvement ;
  • en cliquant et en laissant le bouton enfoncé le temps nécessaire, sur une des flèches extrêmes de la rangée ; le sens de la flèche cliquée commande le déplacement du contenu ;
  • avec la mollette de la souris si celle-ci est paramétrée pour faire défiler les lignes.

Manipuler les fenêtres

Sous Windows, les fenêtres proposent dans la barre de titre, sur la droite, trois icônes:

  • ♥ tiret [Réduire] ♥ : pour masquer la fenêtre
  • ♥ cadres [Niv.inf. / Agrandir] ♥ : pour faire passer la fenêtre (bascule) du plein écran à l’état réduite ;
  • ♥ croix sur fond rouge [Fermer] ♥ : pour arrêter le programme ou fermer le fichier.

Ces trois choix ne jouent pas dans la même catégorie, et il faut bien le comprendre.

Les deux premiers ([Réduire] et [Niv.inf. / Agrandir]) transforment l’affichage de la fenêtre.

La réduction consiste à faire disparaître la fenêtre du bureau pour ne la laisser accessible qu’avec une icône dans la barre des tâches. La fenêtre est réduite à une icône. J’utilise pour cet état le terme de masquée. Il suffit de cliquer sur cette icône pour que la fenêtre retrouve l’aspect qu’elle avait avant sa réduction.

[Niv.inf. / Agrandir] est une bascule qui met la fenêtre en taille restreinte (l’icône représente un simple rectangle) ou en plein écran (l’icône représente deux rectangles l’un sur l’autre, décalés).

En revanche, [Fermer] provoque une toute autre réaction. Une fenêtre ouverte est l’indicateur visible d’un programme en cours de fonctionnement. La fermeture consiste alors à arrêter ce programme, ce qui est tout autre chose qu’une question d’affichage. En particulier, si le travail en cours nécessite une sauvegarde pour être conservé, il faut la faire avant d’arrêter le programme, sinon le travail sera perdu. En règle générale, un programme bien construit alerte l’utilisateur distrait pour qu’il sauvegarde ce travail avant l’arrêt. Mais ce n’est pas toujours le cas avec des programmes un peu exotiques…

Déplacer une fenêtre sur le bureau

Pour déplacer une fenêtre sur le bureau, il suffit de cliquer sur sa barre de titre, et sans lâcher le bouton, la déplacer où on veut ; quand elle atteint la position souhaitée, il suffit de relâcher le bouton de la souris.

Changer les dimensions de la fenêtre

Il est possible de modifier les dimensions d’une fenêtre réduite.

En passant le curseur sur un bord de la fenêtre (n’importe lequel des quatre), il se transforme en une flèche à deux pointes. En cliquant à ce moment, et en déplaçant la souris sans lâcher le bouton, le bord suit le déplacement. Quand la position souhaitée est atteinte, on relâche le clic.

Informations complémentaires

Prolongements

Liens

Historique

10/03/2017 : création.

 

1.133 Composer des caractères bizarres

BPMI – 10/03/2017 – 1

Plan

Présentation

Alt codes

  • Généralités

  • Majuscules accentuées et autres majuscules

  • Voyelles doubles et autres caractères

  • Guillemets

  • Symboles utilisés dans mes procédures

  • Sur Mac ou sous Linux

Précisions sur les accents particuliers (^, ¨, ~)

Activer une autre langue et son clavier

  • Paramétrer une deuxième langue ou plus et son clavier

  • Utiliser le même clavier physique pour deux langues différentes

 

Présentation

Un clavier peut non seulement afficher à l’écran le caractère imprimé sur la touche qu’on enfonce, mais aussi composer des caractères inhabituels.

Le français dispose de nombreux caractères de ce genre. Mais le problème se pose aussi quand on utilise une langue autre que le français habituel, comme le russe ou le grec. L’informatique permet, avec un petit apprentissage, des s’en sortir sans trop de difficulté.

Alt codes

Généralités

Les Alt codes sont des caractères inhabituels, dont les touches sont absentes d’un clavier alphabétique ordinaire français, mais qu’on peut obtenir, sous Windows, dans une combinaison de touches du type [Alt+ # -]. Précisions :

  • ‘#’ est un numéro tapé au clavier numérique ; sur les claviers n’ayant pas de pavé numérique, il faut utiliser les chiffres obtenus avec [Fn+] et non les chiffres de la rangée supérieure obtenus avec [Maj+].
  • Ce numéro peut avoir de 1 à 4 chiffres. Si le premier chiffre est ‘0’ (zéro), il faut le taper comme un chiffre ordinaire.
  • L’affichage ou l’impression des Alt codes dépendent de la police utilisée au moment où on les appelle (ou de la police de remplacement quand on les imprime si la police d’origine est inconnue de l’imprimante). Certains Alt codes ne sont pas disponibles avec des polices un peu exotiques. Mais les polices les plus courantes les proposent tous.
  • Dans certaines applications (comme le traitement de texte), des raccourcis-clavier peuvent être personnalisés. Si un raccourci-clavier personnalisé est de la forme [Alt+ #], ce raccourci peut rentrer en concurrence avec un Alt code. Dans ce cas, c’est le raccourci personnalisé qui s’impose, et le Alt code ne fonctionne pas. Le plus judicieux est alors de choisir une autre combinaison pour le raccourci personnalisé.
  • Notez le ‘–’ à la fin de la combinaison proposée. Il signifie que le caractère correspondant au Alt code n’apparaît à l’écran que lorsqu’on relâche la touche [Alt]. Surprenant au début !

J’ai présenté dans les Préalables techniques (https://prt.geneses.fr/1-1-conventions/) comment composer des caractères particuliers comme les Alt codes.

En voici quelques-uns, pour lesquels je me contente d’indiquer le code numérique :

Majuscules accentuées et autres majuscules

Rappel : en France, les majuscules sont toujours accentuées.

À : 0192

É : 0201

È : 0200

Æ : 0198

Œ : 0140

Ç : 0199

Note : Les voyelles en majuscules avec un accent circonflexe ou un tréma, se tapent de la même manière que les minuscules. Exemples :

pour Ä (A majuscule tréma) :

{¨} pour taper le tréma = [Maj+ ‘^’]) ;

{[Maj+ a]} pour taper le ‘A’ ; (on pourrait aussi taper ‘E’, ‘I’, etc.) ;

Ä apparaît à l’écran.

pour A (A majuscule accent circonflexe) :

{^} pour taper l’accent circonflexe = {^[Espace]} ;

{[Maj+ a]} pour taper le ‘A’ ; on pourrait tout aussi bien taper une autre voyelle) ;

A apparaît à l’écran.

Voyelles doubles et autres caractères

æ : 0230

œ : 0156

— : 0151 (tiret dit ‘quadratin’ pour initier le discours d’une personne dans un dialogue)

  : 255, espace insécable

On pose une espace insécable avant une ponctuation double ( ; : ! ?). Cela évite qu’elle soit rejetée en début de ligne suivante, séparée du texte qui la précède. L’espace insécable s’obtient avec [Ctrl+ Maj+ Espace] ou l’Alt code [Alt+ 255-].

Guillemets

(Attention au paramétrage du traitement de texte qui peut transformer les caractères tapés avec les touches ‘3’ et ‘4’ du pavé alphabétique en minuscules, en guillemets français ou anglais)

Guillemets français : « : 174 ; » : 175 ;

Guillemets anglais : “ : 0147 ; ” : 0148.

Symboles utilisés dans mes procédures

(à votre disposition…)

♥ : 3

♪ : 13

♫ : 14

◄ : 17

► : 16

‡ : 0135

▼ : 31

▲ : 30

Sur Mac ou sous Linux

Si les Alt codes ne sont pas disponibles, il est possible d’obtenir très simplement les majuscules accentuées ou les voyelles doubles, minuscules ou majuscules :

une lettre accentuée majuscule ou le Ç s’obtient avec la touche [Ver Maj+ {la lettre accentuée minuscule ou ç}] ;

une voyelle double minuscule s’obtient avec [Alt Graph+ {la première de deux voyelles}] ; une voyelle double majuscule s’obtient avec [Ver Maj+ Alt Graph+ {la première de deux voyelles}] ;

Précisions sur les accents particuliers : ^, ¨, ~

Ces accents sont susceptibles de rentrer en composition avec les voyelles, minuscules ou majuscules.

Pour obtenir cette combinaison, il faut taper l’accent, relâcher la touche de l’accent et taper la lettre (éventuellement en majuscule).

On peut aussi, parfois, avoir besoin de poser l’accent sans lettre support, comme je l’ai fait dans le titre de ce paragraphe. Pour arriver à ce résultat, il suffit de taper l’accent suivi d’une espace. L’accent apparaît après la frappe de l’espace.

Ces accents et les lettres combinées avec eux (minuscules ou majuscules) sont en fait des Alt codes. La table des Alt codes les donnent en détail. Cette table est disponible sur Internet. Elle est en annexe de ce manuel (ici).

Activer une autre langue et son clavier

Sous Windows 10, il est possible d’actionner d’autres langue que la langue courante. Et d’actionner pour chaque langue, un clavier particulier, y compris pour des écritures non latines. Comment paramétrer ces claviers, puis ensuite, comment les utiliser.

1. Paramétrer une deuxième langue ou plus et son clavier

Dans la barre des tâches, à gauche : ▼ W ;

▼ icône Paramètres (roue dentée [Paramètres] : <▢ Paramètres ;

▼ Heure et langue : <▢ Date et heure ;

Dans le menu à gauche : ▼ Région et langue : Pays et région ; ‡ Langues ‡ ;

▼ ◄ + ► Ajouter une langue : <▢ Ajouter une langue ;

Dans la liste, ▼ la langue à ajoute ;

(la langue est ajoutée à la liste des langues du système) ; ▼ ◄ OPTIONS ► : <▢ Options linguistiques ;

‡ Claviers ‡ ; ▼ ◄ AJOUTER UN CLAVIER ► ;

<▢ Liste des claviers disponibles : en choisir un ; ▣> .

À partir de maintenant, dans la barre des tâches, vers la droite, le code en 2 ou 3 lettres de la langue est affiché ; en cliquant sur ce code, la liste des langue permet de choisir celle que l’on veut utiliser.

2. Utiliser le même clavier physique pour deux langues différentes

Windows 10 propose un clavier visuel qui est bien pratique. On a le même avantage sous Mac et sous Linux. Pour en disposer :

Dans la barre des tâches, à gauche : ▲ W ;

Dans le menu : ▼ Rechercher ;

Dans la zone Posez-moi une question : {clavier visuel} ;

Dans la liste des résultats : ▼▼ Clavier visuel ;

<▢ Clavier ;

Dans la barre des tâches : ▲ icône du clavier [Clavier visuel] : ▼ Épingler à la barre des tâches ;

(à partir de maintenant, le clavier visuel est accessible d’un simple clic sur son icône en barre des tâches).

Quand vous changerez de langue, il suffira d’afficher le clavier visuel, et vous aurez le clavier de la langue en cours. Si vous changez de langue, pour retrouver le clavier de cette langue, fermer la fenêtre du clavier visuel et rappelez-le : ce sera le clavier de la nouvelle langue qui s’affichera.

Sur ce clavier visuel, vous pouvez cliquer sur les touches d’effet ([Maj], [Ver Maj], [Ctrl], [Alt], [Alt Gr] : la touche cliquée s’affiche en bleu et les touches montrent les caractères correspondants.

Informations complémentaires

Prolongements

Liens

Historique

10/03/2017 : création.

 

1.132 Utiliser les raccourcis clavier

BPMI – 10/03/2017 – 1

Plan

Présentation.

Un peu de théorie :

  • Sélection ;
  • Curseur et point d’insertion ;
  • Glisser-déposer ;
  • Le presse-papier.

Raccourcis de base :

  • Copier ( [Ctrl+ C] ) ;
  • Couper ( [Ctrl+ X] ) ;
  • Coller ( [Ctrl+ V] ) ;
  • Sauvegarder ( [Ctrl+ S] ) ;
  • Quitter une application ( [Ctrl+ Q] ) ;
  • Passer d’une fenêtre active à une autre ( [Ctrl+ Tab] ) ;
  • Imprimer ( [Ctrl+ P] ) ;
  • Rechercher ( [Ctrl+ F] ).

Raccourcis sous Windows 10

Présentation

Les raccourcis-clavier sont une astuce fantastique ! Ils font gagner du temps, ils sont précis, mais ils nécessitent un petit apprentissage. C’est peut-être pour cette raison qu’ils sont parfois négligés par les non-professionnels et c’est bien dommage.

La philosophie du raccourci-clavier repose sur l’affirmation qu’il est plus rapide et plus sûr de taper une touche ou une combinaison de touches, que d’aller cliquer sur un lien dans un menu déroulant ou un combo, ou sur un bouton.

De plus, pour les passionnés, le traitement de texte permet de personnaliser ses propres raccourcis-clavier en fonction de ses habitudes ou de ses besoins ponctuels.

La bonne compréhension, et l’utilisation des raccourcis, repose sur quelques notions qu’il faut bien comprendre, et en particulier, la sélection d’un passage et le point d’insertion.

1. Un peu de théorie

Curseur et point d’insertion

Le curseur est un signe paramétrable par l’utilisateur au niveau du système et différent suivant les applications. Il visualise à l’écran la position de la souris. Le curseur bouge quand on déplace la souris, accompagnant son déplacement. [Ctrl-] permet (si ce paramétrage est activé – paramétrage de la souris) de faire apparaître ce curseur comme au centre d’une cible dynamique (comme lorsqu’on jette un caillou dans l’eau calme d’un lac).

Le point d’insertion est un signe (généralement un trait fin vertical ou un rectangle en contraste) dans une zone de saisie, qui indique où viendra le prochain caractère tapé.

On confond curseur et point d’insertion car lorsqu’on ▼, le point d’insertion se positionne là où est le curseur. Ceci est très important ! Quand la souris est apparue dans les systèmes informatiques, c’était une révolution ; on n’avait plus besoin de passer de zone en zone pour aller quelque part, on pouvait y aller directement d’un coup de clic !

Retenez bien qu’en dehors de cette opération, curseur et point d’insertion sont deux réalités bien différentes.

En balayant le point d’insertion sur un passage (bouton gauche non relâché), on sélectionne ce passage ; il est généralement affiché sur un fond de couleur différente pour bien visualiser la sélection. Mais si après cette sélection, on clique ailleurs, la sélection disparaît. La sélection est donc toujours associée au point d’insertion (mais pas au curseur).

Sélectionner un passage

La sélection est une opération qui consiste à balayer un passage. Cela suppose que le passage est accessible dans une zone de saisie, une zone dite d’édition (là où est composé le texte en traitement de texte et tous les endroits similaires), ou encore du texte comme dans les documents PDF ou pages internet, accessibles en tant que texte (si le paramétrage du document PDF permet la copie de passages – prérogative décidée par le créateur du document).

Avec la souris, on sélectionne un passage dans une procédure désormais classique :

Je place le curseur au début de la sélection envisagée ;

▼ et en gardant le bouton enfoncé, je glisse le curseur jusqu’à la fin de la sélection ; je relâche alors le bouton de la souris ; le passage sélectionné apparaît sur un fond de couleur différente.

La sélection peut se faire en associant le clavier :

Je place le curseur au début de la sélection envisagée ;

▼ : le point d’insertion se positionne à l’endroit du clic ;

[Ctrl+ Maj+ …] où ‘…’ peut être [◄], [►], [▼], [▲], [Début], [Fin], [Page ▼], [Page ▲], etc. ;

les flèches ou touches de positionnement permettent d’avancer dans la zone sélectionnée, d’un mot, d’un paragraphe, d’une page, etc.

Des applications peuvent élargir les possibilités de sélection. C’est le cas, en particulier, dans le traitement de texte. Par exemple : ▼▼ sur un mot sélectionne ce mot ; après une première sélection, [Maj+ ▼] permet d’étendre cette sélection jusqu’au nouveau clic ; [Ctr+] permet de faire des sélections disjointes…

Glisser – déposer

Cette procédure, réalisable avec la souris, est un prolongement de la sélection. Elle consiste à déplacer un passage sélectionné, d’un endroit originel vers un autre endroit, la destination.

Quatre temps dans cette procédure :

1. Je sélectionne un passage à déplacer par une sélection classique (voir ci-dessus) ;

2. ▼ sur cette sélection en gardant le bouton enfoncé (amorce du glisser) ;

3. Je déplace la souris et la sélection suit le mouvement du curseur jusqu’à positionner la sélection où je veux la déposer (glissement proprement dit) ;

4. Quand la sélection est au bon endroit, je relâche le bouton de la souris (dépôt proprement dit).

Le presse-papier

Avant d’aborder les raccourcis de base, il faut parler du presse-papier. C’est une mémoire temporaire qui enregistre ce qu’on coupe ou ce qu’on copie (nous allons préciser la différence plus bas) pour le ressortir plus tard.

Le presse-papier est indépendant des applications : on peut le charger dans une application et s’en servir dans une autre.

Le presse-papier est limité à un seul contenu simultané. En fait, c’est le dernier contenu qui reste en vigueur. Quand on charge le presse-papier, le contenu précédent disparaît.

Le volume du presse-papier est a priori illimité. Mais on ne peut mettre dans le presse papier que ce qui se trouve dans une zone de saisie, dans une mémoire de texte (zone de travail du traitement de texte, texte d’un document PDF, image, etc.)

Le presse-papier est vidé quand l’ordinateur est arrêté.

2. Raccourcis de base

Ces raccourcis fonctionnent au niveau du système, dans toutes les zones de toutes les fenêtres. Une exception : certaines applications qui fonctionnent en ligne (sous internet) ont leur propre presse-papier ; elle propose en général un sas pour passer le presse-papier du système vers le leur, et réciproquement ; c’est le cas pour Framacalc et c’est expliqué ici.

Il existe, pour simplifier, trois raccourcis de base pour manipuler du texte et quelques autres pour des fonctions élémentaires.

Copier ( [Ctrl+ ‘c’] ou [Ctrl+ ‘C’] )

Copier est une procédure qui met le passage sélectionné dans le presse-papier, sans modifier le passage d’origine. Deux temps :

1. Je sélectionne le passage à copier ;

2. [Ctrl+ C] ou [Ctrl+ c].

La commande ne fait pas de différence entre le ‘c’ minuscule et le ‘C’ majuscule.

Le contenu initial du presse-papier est perdu,remplacé par la copie.

Couper ( [Ctrl+ ‘x’] ou [Ctrl+ ‘X’] )

Couper est une procédure qui met le passage sélectionné dans le presse-papier et qui supprime ensuite ce passage dans son contexte initial.

Trois temps dans cette procédure :

1. Je sélectionne le passage à couper ;

2. [Ctrl+ X] ou [Ctrl+ x] ;

3. suivant les contextes, quand je colle le presse-papier, le texte est supprimé de son contexte d’origine, ou bien, le texte est supprimé de son contexte d’origine, sans attendre qu’il soit collé quelque part.

La commande ne fait pas de distinction entre le ‘x’ minuscule et le ‘X’ majuscule.

Le contenu initial du presse-papier est perdu.

Coller ( [Ctrl+ ‘v’] ou [Ctrl+ ‘V’] )

Coller est une procédure qui pose le contenu du presse-papier au point d’insertion.

1. Je clique à l’endroit où je veux coller le presse-papier : le point d’insertion se met à la place du curseur ;

2. [Ctrl+ V] ou [Ctrl+ v].

La commande ne fait pas de distinction entre le ‘v’ minuscule et le ‘V’ majuscule.

Le presse-papier reste disponible après la commande pour un autre coller ailleurs. Si on veut vider le presse papier, il suffit d’y copier une espace.

Attention : le résultat du collage n’est pas le même suivant que la zone d’édition est en insertion ou en écrasement.

En insertion, le point d’insertion apparaît comme une ligne verticale entre deux caractères ; le texte est collé sur ce point d’insertion, et le reste du teste est poussé d’autant.

En écrasement, le point d’insertion apparaît comme un rectangle dans lequel un caractère apparaît en négatif ; le collage commence par remplacer ce caractère et les suivants, qui sont perdus.

Sauvegarder ( [Ctrl+ ‘s’] ou [Ctrl+ ‘S’] )

Quand on travaille sur un document, sauvegarder signifie écrire sur le disque dur ce qu’on vient de faire (sous-entendu : en mémoire, susceptible d’être perdu en cas d’arrêt brutal du système).

Ce raccourci est l’équivalent de :

Dans : ▼ Fichier ▼ Enregistrer ou [Ctrl+ S] ou [Ctrl+ s].

Précision : cette commande réagit sans demande de confirmation. Elle ne permet donc pas d’avoir la fenêtre Enregistrer pour enregistrer le document sous un autre nom ou ailleurs. En pratique, on utilise cette commande pour mettre en lieu sûr sur le disque, le document en cours de travail.

Quitter une application ( [Ctrl+ ‘q’] ou [Ctrl+ ‘Q’] )

Cette commande permet de sortir du programme de la fenêtre active. Deux autres gestes ont le même effet :

1. Dans la fenêtre de titre de l’application, tout à droite : ▼ sur le X sur fond rouge [Quitter].

2. Dans : ▼ Fichier ; ▼ Quitter.

Si le document en cours a été modifié depuis son ouverture ou sa dernière sauvegarde, une fenêtre propose de le sauvegarder.

Passer d’une fenêtre active à une autre ( [Alt+ Tab] )

Cette combinaison est très pratique quand on travaille en même temps sur plusieurs documents dans une application ou qu’on utilise plusieurs applications ouvertes simultanément.

La liste des documents et des applications ouvertes fonctionne comme une roue qui tourne d’un cran à chaque appui de la combinaison.

Notez qu’il est possible de faire tourner la roue dans l’autre sens en utilisant [Alt+ Maj+ Tab].

Précision intéressante : supposons que vous ayez trois fenêtres ouvertes. La première est active. Avec [Alt+ Tab] vous affichez la deuxième ; si vous refaites [Alt+ Tab], la première fenêtre viendra s’afficher. En clair, même s’il y a plus de deux fenêtres ouvertes, [Alt+ Tab] fonctionne comme une bascule entre la première affichée et la deuxième.

Imprimer ( [Ctrl+ ‘p’] ou [Ctr+ ‘P’] )

Ce raccourci est l’équivalent de :

Dans : ▼ Fichier ▼ Imprimer… <▢ Imprimer ; …

Dans certaines applications (et sous système), l’impression peut démarrer sans passer par une fenêtre pour préciser les paramètres. Dans ce cas, c’est l’imprimante déclarée par défaut au niveau du système qui est utilisée, avec ses paramètres de base.

Rechercher ( [Ctrl+ ‘f’] ou [Ctrl+ ‘F’] )

Ce raccourci est l’équivalent de :

Dans : ▼ Édition ▼ Rechercher et remplacer… <▢ Rechercher ; …

Ce raccourci est particulièrement pratique avec les pages Internet. C’est expliqué ici : PRT 4. Astuces.

3. Raccourcis sous Windows 10

La liste des raccourcis clavier sous Windows est disponible ici (https://support.microsoft.com/fr-fr/help/12445/windows-keyboard-shortcuts).

Sur cette page, vous commencerez par sélectionner votre système depuis Windows 7 jusqu’à Windows 10.

Notez, ensuite, que les raccourcis sont présentés en fonction de l’environnement : raccourcis courants ; avec la touche W ; dans les boîtes de dialogue ; dans l’explorateur de fichiers ; dans la barre des tâches ; etc.

Je ne saurais que trop vous conseiller de mettre cette page en Favoris pour y revenir chaque fois que vous vous donnerez un moment pour apprendre ces raccourcis. Vous apprécierez votre confort ensuite.

Informations complémentaires

Prolongements

Liens

▢ Framacalc, presse-papier

PRT 4. Astuces

Historique

10/03/2017 : création.